Pour tirer le meilleur parti de cette méditation, prenez le temps de lire les références citées.
Le bernard‑l’ermite est fascinant. Il garde toujours son abdomen mou, son point faible, dans sa coquille pour se protéger des prédateurs. Dès qu’il se sent en péril, il se réfugie à l’intérieur de son domicile jusqu’à ce qu’il soit hors de danger.
Nous pourrions être tentés d’agir de même quand nous nous estimons menacés ou que nous croyons manquer de quelque chose. Nous emmagasinons souvent toutes sortes de provisions dans le but de parer au manque, et nous devenons avares de notre temps. Pourtant, l’Écriture nous exhorte à faire le contraire : « L’âme bienfaisante sera rassasiée, et celui qui arrose sera lui‑même arrosé. Celui qui retient le blé est maudit du peuple, mais la bénédiction est sur la tête de celui qui le vend » (Pr 11.25,26).
Dieu ne prévoit pas d’exceptions à cette règle. Il veut que nous soyons généreux par reconnaissance envers lui, qui l’a tellement été à notre égard (Mt 7.7‑12; 2 Co 9.6). Comme nous servons un Dieu qui possède tout, nous pouvons nous montrer altruistes, car il pourvoit toujours à nos besoins.
Matière à réflexion
• Songez à vos biens ou à vos expériences. Remerciez‑en Dieu, et priez‑le de vous montrer ce que vous pouvez partager.
LA BIBLE EN UN AN : ACTES 25 – 26
