Pour tirer le meilleur parti de cette méditation, prenez le temps de lire les références citées.
Reprenons le thème de dimanche dernier et imaginons que Dieu ait créé les êtres humains pour qu’ils soient analogues : qu’ils lisent tous les mêmes livres, écoutent les mêmes genres de musique, aient les mêmes goûts culinaires, les mêmes opinions et les mêmes idées. En outre, ils auraient tous les mêmes limites. Dans quel monde moche et dangereux nous vivrions!
Heureusement, Dieu appelle les croyants à l’unité, et non à l’uniformité. Le dictionnaire Usito définit « unité » en ces termes : « caractère de ce qui est cohérent », et « uniformité » ainsi : « absence de variété ». Dans le premier cas, le fer peut aiguiser le fer (voir Pr 27.17), tandis que dans le deuxième, on n’obtient qu’une apparence d’harmonie et de sécurité.
Jésus a prié pour que ses disciples entrent dans l’unité de la Trinité : « Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un, — moi en eux, et toi en moi, — afin qu’ils soient parfaitement un » (Jn 17.22,23). Nous pouvons donc bénéficier de nos différences tout en faisant un en Jésus. Quelle bénédiction!
Matière à réflexion
• Vous privilégiez l’unité ou l’uniformité? Comment pourriez‑vous favoriser l’unité?
LA BIBLE EN UN AN : MATTHIEU 19 – 21
