1 SAMUEL 18.5‑16
Nous nourrissons tous certaines attentes dans la vie. N’empêche que nos objectifs ne cadrent pas toujours avec la volonté de Dieu, et qu’il ne veut pas nécessairement nous accorder ce qu’il donne à d’autres. Nous ne devons donc pas nous comparer à qui que ce soit, car nous pourrions devenir amers et jaloux.
Quand l’Éternel a choisi Saül en tant que premier roi d’Israël, il lui a conféré pouvoir et autorité sur cette nation. Cependant, lorsque Saül a entendu des femmes accorder à David une plus grande victoire qu’à lui, il en est devenu envieux et méfiant. Il a commencé à redouter que David lui prenne son trône et, à la longue, sa jalousie a entraîné le résultat qu’il craignait.
Il s’agit peut‑être d’un exemple extrême, mais il nous arrive aussi d’être jaloux. Demandons‑nous si la réussite matérielle ou relationnelle de quelqu’un nous contrarie. Dans ce cas, cela indique souvent que nous sommes envieux.
Nous nous trompons en pensant que, si seulement nous recevions ce que nous désirons, nous serions heureux. Le contentement ne résulte pas du fait d’obtenir ce que nous souhaitons, mais d’accepter ce que Dieu nous donne. Seul, il voit au‑delà des apparences et il veut nous accorder ce qui favorise notre bien‑être spirituel.
LA BIBLE EN UN AN : PHILIPPIENS 1 – 4